Zoom sur les Saint-Victorien(ne)s

7 janvier 2023Zoom sur les St-VictoriensZoom sur La Libellule d’Asie : Du changement dans le centre bourg….. M. et Mme Diep sont les nouveaux propriétaires de la brasserie le Saint-Louis qu’ils ont renommé « La Libellule d’Asie ». Nous leur souhaitons la bienvenue. Déjà établis à Bourgoin-Jallieu avec uniquement de la vente à emporter, c’est à Saint-Victor de Cessieu qu’ils ont décidé de poursuivre l’aventure en ouvrant un restaurant vietnamien. C’est avec plaisir qu’ils vous accueillent pour vous faire découvrir les saveurs de leurs plats tous préparés maison et élaborés à partir de produits frais et de qualité. M. et Mme Diep travaillent avec le cœur, et leur plus grand bonheur est la satisfaction des clients. Le restaurant est ouvert tous les jours sauf le dimanche. Le bar est ouvert du lundi au dimanche matin, une carte vous permettra de choisir vos plats ains qu’un menu du jour. L’accueil de groupes pour des évènements familiaux ou professionnels est possible alors n’hésitez pas à las contacter. Vous pouvez consultez les avis sur Google et… dépaysez-vous ! […]
23 novembre 2022Zoom sur les St-VictoriensZoom sur Jean-Marie Claeys, diacre et aumônier de prison Comment et quand êtes-vous arrivé à Saint Victor de Cessieu ? Originaire du Nord, j’ai travaillé en tant que directeur d’Unité de Production de semences de céréales dans l’entreprise familiale de 1981 à 1990 dans la Bresse. Suite à un déclin de l’activité, j’ai connu une période chômage. En 1990, je suis arrivé dans notre village avec ma famille et nous y avons connu les chutes de neiges exceptionnelles et les inondations. J’ai exercé pendant deux ans dans le secteur des machines agricoles. Puis, j’ai choisi de travailler dans le domaine social. J’ai alors intégré la Fondation d’Auteuil à La Côte Saint André pour assurer la comptabilité mais aussi l’animation pastorale auprès des jeunes. Etant diacre, je suis devenu aumônier régional en 2013 à la prison de Saint-Quentin Fallavier apportant alors un soutien aux personnes détenues. Cette expérience m’a amené avec d’autres en 2017 à la création de l’association « La Barque 38 » qui a pour objectif de restaurer le lien social par l’accompagnement et le suivi des personnes détenues. C’est pour les sans soutien, les sans argent, les sans rien que l’association a vu le jour. Pouvez-vous nous présenter « la Barque 38 » ? Lors de permissions de sortie pour une raison définie par l’autorité judiciaire, nous accompagnons les personnes détenues vers les villes, les gares, les centres d’insertion, le pôle Emploi, de potentiels employeurs, les hôpitaux, les EHPAD, etc…. Ces prises en charge s’adressent à ceux qui ne peuvent pas s’appuyer sur un entourage social ou familial. Dans le cadre de cercles de soutien, nous accompagnons également des personnes en semi-liberté en marge de la vie. Une formation spécifique nous permet de créer un climat de confiance afin d’orienter les personnes en grande précarité vers plus d’autonomie. Ces deux actions montrent aux personnes souhaitant se réinsérer qu’elles ne sont pas définitivement rejetées et qu’un avenir est possible. Il est important même si cela parait compliqué de comprendre qu’une société doit prendre en compte ses prisons. Les détenus en sortiront et il est nécessaire de les aider à se réinsérer. Vingt bénévoles sont impliqués dans cette association et nous en cherchons d’autres car ces personnes, formées par les services d’insertion, sont un relais important permettant au juge d’application d’octroyer plus facilement une permission de sortie. Nous recherchons des bénévoles pour accentuer nos actions. N’hésitez pas à nous contacter. En partenariat avec l’association des Amis de Saint-Jacques, nous proposons également aux personnes détenues des marches sur le chemin de Compostelle. Ces sorties pédestres ont pour but de reconnecter la personne avec le monde extérieur et de lui permettre de sortir momentanément de l’univers carcéral. Cette aventure conduit certains d’entre eux à une reconstruction humaine et spirituelle. Etes-vous actif dans d’autres associations ? Effectivement et cet article me permet d’évoquer « les Joëlettes du Cœur 38 » dont le but est la coopération et l’entraide entre particuliers et des associations en direction des personnes à mobilité réduite. Une joëlette est un fauteuil de randonnée conçu à la fois pour des promenades et des utilisations sportives. Mais pour qu’il trouve toute son utilité, plusieurs accompagnateurs sont indispensables. Des sorties et des évènements sportifs ont déjà été organisés et le lien humain qui en émane est une vraie source de joie. Si vous avez envie de cette aventure, contactez l’association, vous y serez accueilli chaleureusement. Les bonnes volontés sont les bienvenues. Nous avons le projet de mixer la Barque 38 et les Joëlettes du Cœur en proposant à des personnes détenues d’accompagner des personnes à mobilité réduite. L’association « A la croisée des chemins » à Saint-Chef est également très intéressante car elle est dédiée aux patients avec beaucoup de bienveillance. Il s’agit d’un centre de soins d’accompagnement soucieux de préserver la dignité humaine. Des infirmières formées à ce type de soins et à la connaissance des plantes médicinales prennent en charge le patient : Massages doux et attentifs Enveloppements Bains thérapeutiques Ce « prendre soin », soucieux de protéger la dignité humaine se développe progressivement en structures de soins (EHPAD, foyers, hôpitaux…) et est dédié aux personnes en situation de handicap, atteintes de maladies graves, en fin de vie mais aussi aux aidants, aux personnes en difficulté sociale ou aux plus démunis. Que vous apporte votre investissement dans le tissu associatif ? Donner, c’est aussi recevoir. Cela donne du sens à la vie. […]
22 juillet 2022Zoom sur les St-VictoriensZoom sur Sarah Frizon Bonjour Sarah Depuis combien de temps vivez-vous à St Victor de Cessieu ? Mon père y a été nommé instituteur alors que j’avais 3 ans et il a occupé ce poste pendant toute sa carrière. J’ai donc grandi ici et nous occupions le logement de fonction au-dessus de l’école. Je garde d’excellents souvenirs de cette période. Et maintenant, que faites-vous dans notre village ? J’ai toujours vu mon père impliqué dans des associations ( chasse et Boule d’Acier) et c’est donc avec ce modèle que je me suis investie dans la vie associative de St Victor de Cessieu. Ce choix me permet de retrouver des ami(e)s , de faire de belles rencontres , de donner mais aussi de recevoir. Maman de quatre enfants, j’ai intégré le Sou des Ecoles. Cette association m’apporte beaucoup car nous sommes un groupe de parents d’élèves bénévoles et engagés dans la vie de l’école et du village. Notre présidente Narjes Vella nous communique son dynamisme et son engagement. C’est avec plaisir que tou(te)s ensemble, nous travaillons à l’organisation de manifestations diverses et variées sur la commune. Faire partie de ce groupe est une belle aventure humaine : seul, on va plus vite mais ensemble, on va plus loin. En ce qui me concerne, je participe aux réunions et à la préparation de ces évènements avec un engagement plus important dans l’organisation de la randonnée qui se déroule en Mars. Je suis également vice-trésorière de l’ACCA (chasse). J’ai découvert l’univers de la chasse il y a 5 ans et c’est devenu une vraie passion. Seule femme de l’association, je remercie tous les chasseurs qui m’ont accueillie avec bienveillance et respect. Cette activité m’offre des moments en famille dans la campagne avoisinante. C’est aussi un vrai plaisir de voir mon chien « au travail ». J’aime le voir chercher le gibier et vivre de jolis moments de complicité avec lui. Ces deux aspects sont prioritaires sur la chasse en tant que telle. . Le contact avec la nature me permet de me ressourcer et cela m’apaise…. Ce dernier mot n’est pas anodin….en effet, vous occupez d’autres fonctions dans notre village. Pouvez-vous nous en parler ? Je suis agent polyvalent : j’assure le service au restaurant scolaire et l’entretien des locaux de l’école. Je suis également en poste à la garderie dont j’anime les activités avec ma collègue. J’apprécie avant tout le lien avec les enfants et les restrictions imposées par la crise sanitaire m’ont beaucoup frustrée. Cela a mis un frein aux gestes de réconfort envers les enfants qui en ont besoin à certains moments de la journée. J’apprécie par-dessus tout l’aspect humain de mon métier. Après un CAP Secrétariat/Comptabilité et un baccalauréat Comptabilité/Gestion, je n’ai pas exercé dans ce domaine mais cela me permet de venir renforcer de temps en temps l’équipe administrative de la mairie. J’ai été factrice, assistante maternelle, magasinière, auxiliaire de vie pour les personnes âgées puis agent polyvalent . Je m’épanouis en donnant aux autres tant dans ma vie personnelle que professionnelle. C’est un véritable moteur et c’est ainsi que j’ai envie de donner du sens à ma vie. ******************************* Merci Sarah pour votre engagement dans la vie de notre commune ainsi qu’à tous les bénévoles des associations qui font rayonner St Victor de Cessieu. En tant que rédactrice, je tiens à préciser qu’à travers ce zoom , vous souhaitez avant tout à valoriser les associations dont vous êtes membre actif. […]
24 mai 2022Zoom sur les St-VictoriensZoom sur Blandine Salamand, jeune agricultrice du village. Blandine, vous avez 26 ans et vous êtes agricultrice. Quel a été votre parcours ? Issue d’une famille d’agriculteurs par mon père et par ma mère, je suis née à Saint-Victor de Cessieu et j’y ai grandi dans l’exploitation agricole de mes parents chemin de Gourgeolas devenu depuis peu chemin de Châtaigniers. Cette exploitation appartient à ma famille depuis quatre générations et pas question que cela s’arrête parce que mes parents ont eu deux filles. Avant même de savoir marcher, mon père m’emmenait avec lui pour tous les travaux de la ferme et j’ai rapidement adoré cela. Ecole maternelle et primaire dans le village, collège Les Dauphins puis Lycée agricole à la Motte-Servolex et enfin un BTS Production Animale à la Côte Saint André : des études avec un seul objectif d’abord aider mes parents puis reprendre l’exploitation familiale, je suis très attachée à notre histoire et à mes racines. Je souhaite poursuivre ce que mes arrière-grands-parents, mes grands-parents et mes parents ont construit. Je suis la première femme dans la lignée. Ma petite sœur, quant à elle, est secrétaire dans une clinique vétérinaire dédiée au domaine rural …. Mes journées sont bien remplies et je ne m’ennuie jamais. J’aime ma liberté dans la gestion de mon temps et la flexibilité de mon emploi du temps mais ce métier n’est pas facile tous les jours et je finis souvent épuisée. Notre exploitation est une ferme bovine avec 230 bêtes : une partie pour la production de lait (fruitière de Domessin pour la fabrication de la raclette), l’autre partie pour la viande de boucherie. Depuis toujours, mes deux passions sont l’agriculture (plus particulièrement l’élevage) et le football. Je suis polyvalente. Tout ce que mon père fait, je suis capable de le faire aussi mais nous nous sommes réparti le travail : moi, pour l’élevage et lui pour la culture. J’aime bien partir en tracteur l’après-midi mais le matin et le soir, j’aime retrouver mes vaches. Je les connais toutes ainsi que leur histoire familiale. Début janvier, nous avons vu naître des triplés ! Phénomène rare et riche en émotions ! Après avoir eu un statut d’aide familiale dès l’âge de 16 ans, je suis aujourd’hui salariée. Notre entreprise est viable car nous faisons tout nous-mêmes (et ce, depuis la création de l’exploitation). Nous ne faisons appel à des prestataires qu’occasionnellement. Je ne me projette pas trop sur du long terme car nous sommes tributaires des fluctuations des cours du lait, de la viande, des achats type engrais, carburant, matériaux…..ainsi que des caprices de la météo. A tout cela, il faut ajouter les imprévus car des accidents avec des blessures corporelles peuvent survenir et tout désorganiser. Intéressée par la génétique, j’ai suivi une formation pour inséminer les vaches.  Le but est de progresser pour obtenir des vaches rentables et qui vieillissent bien. Le bien-être animal est primordial pour moi dans la limite de mon métier. Et si un jour, je peux emmener une de nos vaches au salon de l’agriculture je serai comblée ! Malgré mon investissement dans la ferme, j’ai quand même pu m’épanouir dans un autre domaine : le football !!! J’ai commencé à 7 ans ici dans le village à la Vallée de l’Hien puis à Cessieu, seule fille parmi les garçons, je garde d’excellents souvenirs de cette période. Puis lorsque la règlementation a changé, j’ai dû intégrer une équipe féminine à Nivolas-Vermelle (à mon grand regret car je préférais jouer avec les garçons) avec laquelle j’ai joué en National pendant 3 ans (mes meilleurs souvenirs…). Malheureusement, avec le temps, l’équipe s’est dissoute. J’ai donc arrêté le foot mais cela me manque énormément. Je profite de mon temps libre pour soutenir le club du FCVH38. J’aime également les concours de labour auxquels j’ai commencé à participer à 12 ans. Cela nécessite du matériel spécifique et de l’entraînement. Je suis allée quatre fois en régional et j’espère comme pour le foot arriver en national. J’ai également passé mon permis poids lourds en 2018. Une corde de plus à mon arc…. Je regrette le manque d’intérêt des jeunes générations pour le monde agricole, en particulier pour l’élevage. Une vague de départs à la retraite se profile et que vont devenir les exploitations sans repreneurs ? C’est un métier passionnant et tellement gratifiant. Je suis fière d’être agricultrice et encore plus, de pouvoir l’être à Saint-Victor de Cessieu. […]
7 février 2022Zoom sur les St-VictoriensPouvez-vous vous présenter Véronique ? J’ai emménagé à Saint-Victor de Cessieu en juillet dernier, c’est donc tout nouveau pour moi. Mon mari et moi-même venons de Bourgogne où nous avons tenu une maison d’hôtes pendant 5 ans, où j’exerçais en parallèle mon activité de naturopathe-sophrologue et magnétiseuse en proposant des rendez-vous particuliers mais aussi des ateliers de méditation, des ateliers zen et des groupes de parole pour les adultes et pour les enfants. J’ai aussi pratiqué auprès des personnes âgées en EHPAD afin de leur apporter du bien-être. Comment souhaitez-vous vous impliquer dans la vie de notre village et pourquoi ? J’ai envie de proposer aux habitant(e)s de Saint-Victor de Cessieu un lieu serein et apaisant où ils trouveront un éventail de soins à l’écoute de leur corps et de leur esprit. La prise de rendez-vous se fait uniquement sur rendez-vous. Je m’adapte à différents horaires pour convenir à tous. Le coût d’une séance est de 45€ à 50€. Je suis diplômée en Sophrologie, Naturopathie, Reiki Usui, Lithothérapie. Une séance de Sophrologie dure 1 heure Une séance de Naturopathie dure 1 heure Une séance de Reiki Usui dure 1 h15 Une séance de Lithothérapie dure 1 h (soin par les cristaux) En Sophrologie, Naturopathie : Un bilan général est établi puis des pistes de soins seront proposées en fonction de chacun(e). Le nombre de séances est choisi ensemble en fonction des besoins de chaque personne. Le Reiki : Il s’agit d’une méthode de bien-être née au Japon. Le travail du praticien de Reiki consiste à effectuer un travail de toucher relaxant doublé d’une méditation simple, pour libérer les tensions énergétiques, logées au niveau du corps et de l’esprit de la personne, allongée habillée. Le Reiki amène à la source du mal-être et en libérant les tensions, laisse émerger un bien-être jusqu’ici bloqué. Le patient choisit le nombre de séance qu’il souhaite selon ses besoins. La lithothérapie : C’est une technique qui utilise des pierres et des cristaux pour apporter un soin. Les pierres et les cristaux agissent sur le plan physique et psychique en rééquilibrant les fonctions vitales de l’organisme. La pierre envoie au corps un signal porteur d’informations vibratoires qui, en fonction des besoins, harmonise l’organisme, le purifie énergétiquement ou le stimule. Je propose également : Des ateliers de méditation collectifs 1h Des ateliers zen collectifs 1h Des groupes de parole (avec le respect des gestes barrière et des protocoles sanitaires) 1h Le tout à des tarifs collectifs pour un minimum de 5 personnes. Quel message souhaitez-vous adresser ? Mon cabinet sera ouvert début janvier et j’y accueillerai chaque personne désireuse de pérenniser un bien-être naturel, de comprendre et de gérer un mal-être passager ou persistant dans un lieu calme. Je souhaite avant tout accompagner, soutenir et aider les personnes vers un mieux-être, je les accueillerai au 1196 route de Doissin à Saint-Victor de Cessieu Vous pouvez me joindre au 07 83 96 06 19. Véronique Noyon […]
31 janvier 2022Zoom sur les St-VictoriensBonjour Noël qui êtes-vous ? Je suis né en 1942 à Saint-Victor de Cessieu où mes parents s’étaient installés en 1939. Après avoir fait les « tournées » dans les villages, ils avaient choisi d’ouvrir une épicerie d’abord dans le haut du village puis de la déplacer à l’emplacement de l’actuel VIVAL. Faisant partie d’une fratrie de 8 enfants, je suis allé à l’école du village puis en pension à la Côte Saint André. J’ai poursuivi mes études jusqu’au baccalauréat. Je souhaitais alors travailler dans le secteur de la chimie. Mais il a fallu reprendre le commerce de mes parents. Ce que j’ai fait quelques années avant de partir travailler à Lyon en 1980. Je suis ensuite revenu et j’ai occupé un poste chez RADIAL à l’Isle d’Abeau jusqu’à ma retraite. Pourquoi ce surnom « Babi » ? J’étais le dernier des garçons donc le plus petit… Comment vous êtes-vous impliqué dans la vie associative ? Parents d’un petit garçon, ma compagne Frédérique et moi-même, nous avons ouvert en 1996 une section Babygym et créé l’association Mieux Vivre. D’autres activités se sont développées au sein de notre structure : gym détente pour adultes, randonnées (création et organisation de la « Balade des Fleurs » pendant 12 ans), tennis de table et badminton (jusqu’à 120 adhérents). Président de Mieux vivre, j’ai fait partie du Comité des Fêtes et j’ai géré le matériel des différentes manifestations pendant 15 ans. J’ai donc été et je suis toujours très présent au gymnase. J’ai longtemps joué au football à la Vedette. Je fais également partie de la Boule d’Acier et du Don du sang. Cette vie associative m’a apporté beaucoup de joie et de satisfaction, de belles rencontres mais je suis prêt à passer le flambeau. Pourquoi êtes-vous resté à Saint-Victor de Cessieu ? J’y possédais une maison et toute ma famille y vivait. Comment avez-vous vu Saint-Victor de Cessieu évoluer ? Lorsque j’étais enfant, il y avait peu de moyens de communication. Les habitants se connaissaient tous et il y avait des figures emblématiques. Les usines employaient beaucoup d’ouvriers qui habitaient le village. La vie commerçante était dense et il y avait davantage d’espaces naturels. Le déclin et la fermeture des usines ont changé la physionomie du village. On se connaît moins, beaucoup d’habitants travaillent à Lyon, Chambéry ou Grenoble et n’ont plus le temps de participer à la vie du village. De nouvelles constructions, de nouveaux aménagements ont petit à petit changé le village dans lequel je continue à aimer vivre. C’est pourquoi je tiens à assister aux conseils municipaux afin de me tenir informé des projets de l’équipe municipale. […]
10 novembre 2021Zoom sur les St-VictoriensA 28 ans Margot de Jubécourt a choisi de tenter l’aventure, de réaliser son rêve, de vivre de sa passion : l’écriture. Elle se présente désormais en tant qu’auteur(e) et a mis momentanément en pause son métier d’ingénieur Qualité Sécurité Environnement. Née à Evry dans l’Essonne, elle grandit d’abord en région parisienne puis à Saint Didier de la Tour. Il y a 15 ans, sa famille s’installe à Saint Victor de Cessieu. Depuis son enfance, Margot de Jubécourt adore les mots. D’abord dans les livres qu’elle lit parfois en cachette car l’heure du coucher est passée, puis son imaginaire la transporte dans ses propres histoires qu’elle ressent le besoin d’écrire. Sa vocation est née. Aux collèges des Dauphins et Saint Bruno puis au lycée Saint Marc, elle poursuit ses lectures et ses productions d’écrits. Notre village et ses alentours se révèlent des lieux propices à l’inspiration et l’imagination. Après des études supérieures à Grenoble, elle s’engage dans une carrière professionnelle qui la satisfait mais dans laquelle sa créativité est freinée. Elle décide donc de se consacrer entièrement à ce qu’elle aime et publie en auto-éditrice son troisième roman :  Paris en bouteille. Elle y explore des sujets qui lui sont chers : blessures, amour, pardon, guérison et tendresse. Margot de Jubécourt met sa plume au service de l’espérance. Ce roman vient s’ajouter à deux autres :  Pour quelques œillets (2013) et Le masque du Chacal (2020) pour adolescents et jeunes adultes ainsi qu’à un recueil de nouvelles Gribouillages (2019). Si comme cette jeune femme, vous aimez la magie des mots, allez à sa rencontre !  Vous la découvrirez à travers ses livres (en vente à son domicile et sur Amazon) mais aussi en participant à des ateliers d’écriture qu’elle anime (à partir de 9 ans). Elle est également présente sur Facebook et Instagram.  Renseignements et inscriptions : margotdejubecourtauteur@gmail .com […]
10 novembre 2021Zoom sur les St-VictoriensBonjour Jean François, qui êtes-vous ? Natif de Saint-Victor-de-Cessieu, je suis âgé de 68 ans, marié, 2 enfants et 4 petits-enfants. J’ai fréquenté l’école privée du village puis la Nat à Voiron. J’ai pratiqué durant 22 ans le foot au club de la Vedette (victoire de la coupe de l’Isère en 1977). Et votre parcours professionnel ? En 1970, j’ai rejoint l’entreprise familiale (3ème génération). Mon père avait une fabrique de moellons et une activité de transport pour les livraisons. A mon arrivée, nous avons automatisé la fabrique, passant de 1.500 à 6.000 moellons par jour. Par ailleurs, j’ai développé l’activité de transport. Mon épouse a rejoint l’équipe qui comptait 25 salariés.Quand j’ai cessé mon activité en 2007, je me suis tourné vers les autres dont l’humanitaire en m’investissant complètement. L’humanitaire, c’est-à-dire ? • 1992 : Je suis devenu membre du Lion’s club Pont/La Tour (actions pour Saint-Victor-de-Cessieu : la réfection de la croix de Crétaz, l’achat du défibrillateur et de panneaux de signalisation « handicap » puis le financement pour permettre à 2 enfants défavorisés de partir en colonie). • 2004 : Membre de l’association Verticale (recherche sur la moelle épinière). • 2007 : Entraide Internationale Romagnieu (aide apportée à l’Albanie, la Bulgarie et la Roumanie), je convoie des vêtements, du para-médical et divers matériels. • 2013 : un mandat de conseiller municipal. • 2020 : Implication dans les « Resto du Coeur ». Un dernier mot pour conclure ? J’ai vu une importante évolution de mon village durant toutes ces années, il y fait bon vivre ! […]
10 novembre 2021Zoom sur les St-VictoriensBonjour, Quentin, qui es-tu ? J’ai 19 ans, je suis arrivé avec mes parents en 2004 à St Victor et nous habitons au village. Je suis allé à l’école primaire à St Vic, au collège à La-Tour-du-Pin, puis je me suis orienté en section professionnelle en maçonnerie. Je passe actuellement mon BP en alternance chez un employeur sur Biol. Quels sont tes loisirs ? Je joue au football depuis mon enfance au FCVH avec une parenthèse à La Tour mais je suis revenu au FCVH pour l’esprit et l’ambiance qui y règnent. Je suis en parallèle entraîneur des -13 ans au FCTC à La-Tour-du-Pin. J’ai également rejoint depuis 2 ans le club de la Boule d’acier où mon père joue depuis plus de 10 ans. Je suis aussi bénévole au festival Moulinstock et, cette année président des conscrits. Où te vois-tu dans 10 ans ? J’espère toujours ici ou pas loin ! Enfin plus chez mes parents, j’aimerais pouvoir construire ma maison et peut-être me mettre à mon compte. Avec la maçonnerie j’ai trouvé ma voie. Un mot sur ton village ? J’apprécie la tranquillité de la campagne avec tout à proximité, il manque des infrastructures pour les jeunes, les futurs projets y remédieront sûrement mais il sera un peu tard pour moi ! Du côté du stade, les vestiaires vieillissent mal, un terrain synthétique serait une belle solution ainsi qu’une salle des fêtes comme à Torchefelon. Et pour finir ? Je souhaite que le retour à la vie normale soit rapide, les échanges et les contacts me manquent. Comme l’a dit le président « ce n’est pas facile d’avoir 20 ans en ce moment » ! […]
10 novembre 2021Zoom sur les St-VictoriensEnvie d’un moment de détente ? Alors, retrouvez Christelle dans sa Bulle de Détente, un espace bien-être situé au 1489 chemin du Bas Vallin. Elle vous y accueillera et prendra soin de vous. Diplômée en 2002 et passionnée, elle poursuit régulièrement sa formation afin de vous prodiguer des soins innovants. Son cabinet d’esthétique vous propose des soins pour le visage (démaquillage, gommage, modelage) adaptés en fonction de votre type de peau et à base de produits naturels (sucre, miel, avocat, huiles essentielles). Un soin anti-âge peut être réalisé pour lisser, redensifier, repulper votre visage.                                                                                   Vous pourrez prolonger ces instants de détente par des soins pour le corps (épilation, gommage, modelage, enveloppements, massages traditionnels ou aux pierres chaudes). Un programme vous aidera à affiner votre silhouette. Des soins pour les mains et les pieds et vous vous sentirez bien jusqu’au bout des ongles ! Vous trouverez également chez Bulle de détente une gamme de produits fabriqués en France aux senteurs naturelles.                                               « Je choisis de prendre mon bien-être en urgence                                               plutôt que de prendre mon mal en patience. »                        Si vous souhaitez prendre rendez-vous, contactez Christelle au 0662596532 […]

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